La Mandarine de la frustration
C'est le fruit qu'on mange faute de pouvoir croquer dans la Pomme tentatrice, inaccessible, perchée sur la cime de l'arbre de la connaissance (le pommier quoi!).
La Mandarine est posée délicatement sur le sol, elle est propre, lisse, d'un orange uniforme. Elle est semblable à toutes ses soeurs mandarines. Lisses à l'exterieur, divisées à l'interieur. Comme des fuseaux horaires.
La mandarine est un leurre. Tu mords dedans à pleinne dents, et tu te rends compte que c'est que du vent... enfin du jus quoi, de l'eau, très peu de matière, si on met de côté l'épaisse peau qui dissimule le tout.
La mandarine est sans risque, seulement 25 calories. Pas d'exès, pas de répercution physique, pas de culpabilité à avoir... Si ce n'est celle de ne pas avoir su décrocher la Pomme, raison pour laquelle tu manges, encore, la Mandarine.
Vendredi 27 mars 2009 à 23:58
Mercredi 11 mars 2009 à 22:22
C'est agaçant enfin de compte, un blog à l'abandon? Plus d'image, plus de renouveau dans les modules, plus de fond qui change de couleur selon mon humeur...
Pourtant c'est pas les idées qui manque, ni les choses à dire. Je pense que les deux principaux maux du bloggeurs sont: n'avoir rien à raconter, et avoir trop de trucs à raconter! Je suis passé d'un extreme à un autre en l'espace d'une semaine et ça fait du bien j'avoue. C'est bon de pleurer, mais pas juste quelques larmes silencieuses, des vraies larmes bien chaudes, qui laissent les yeux tous gonfler, celles qui soulagent! C'est bon d'avoir des fous rires, avec ces proches, et avec des moins proches, de parler, sans cesse, et toujours avoir un truc à raconter, un truc à entendre. Elle me manque.
Se laisser aller...
à la colère. Je deviens convaincu du pouvoir positif qu'a la colère. Pas la haine hein, la colère saine, qui nous fait nous battre.
J'ai des idées de métaphores avec des trombones et des feuilles de papier A4 qui se mélangent dans la tête. J'ai envi d'aller me coucher, car demain très, très très grosse journée, et surtout une longue soirée qui va suivre!!! Restons raisonnable pour ne pas se planter non plus.
Article très désorganisé.
J'ai envi de parler de cette soirée... Me souvenir encore et encore de toute cette émotion, ce débordement de tout, etre mis à nu, etre entouré, la surprise générale, j'ai envi de parler de cette soirée... ça me fait du bien.
Depuis quelques temps on me dit souvent que je suis pas dans mon assiete, je semble pas bien, c'est surement pas faux, mais pour une fois, je sais pas vraiment qu'est ce qui va pas!
Pourtant c'est pas les idées qui manque, ni les choses à dire. Je pense que les deux principaux maux du bloggeurs sont: n'avoir rien à raconter, et avoir trop de trucs à raconter! Je suis passé d'un extreme à un autre en l'espace d'une semaine et ça fait du bien j'avoue. C'est bon de pleurer, mais pas juste quelques larmes silencieuses, des vraies larmes bien chaudes, qui laissent les yeux tous gonfler, celles qui soulagent! C'est bon d'avoir des fous rires, avec ces proches, et avec des moins proches, de parler, sans cesse, et toujours avoir un truc à raconter, un truc à entendre. Elle me manque.
Se laisser aller...
à la colère. Je deviens convaincu du pouvoir positif qu'a la colère. Pas la haine hein, la colère saine, qui nous fait nous battre.
J'ai des idées de métaphores avec des trombones et des feuilles de papier A4 qui se mélangent dans la tête. J'ai envi d'aller me coucher, car demain très, très très grosse journée, et surtout une longue soirée qui va suivre!!! Restons raisonnable pour ne pas se planter non plus.
Article très désorganisé.
J'ai envi de parler de cette soirée... Me souvenir encore et encore de toute cette émotion, ce débordement de tout, etre mis à nu, etre entouré, la surprise générale, j'ai envi de parler de cette soirée... ça me fait du bien.
Depuis quelques temps on me dit souvent que je suis pas dans mon assiete, je semble pas bien, c'est surement pas faux, mais pour une fois, je sais pas vraiment qu'est ce qui va pas!
Jeudi 12 février 2009 à 22:13
Le BTS blanc.
j'alterne les poussées d'adrénaline studieuses et productives et les moments de doutes et de chutes. j'alterne l'égocentrisme et le mépris de mon travail. jamais je ne m'évade. pas complement. meme quand il est là, avec moi , il me manque, car moi je suis loin, très loin de lui, très loin d'ici et de mes proches. Je suis loin de la foret qui cerne mon école, je suis loin de demain car les nuits sont très longue. Isolement et auto-critique sevère. Je ne me reconnais pas dans les pensées qui me viennent. Je me trouve de plus en plus obsessionnelle. Je vais sécher les cours demain...pour travailler! Le comble du sérieux!
Je me surprends à etre spead, à produire, à etre passionnée et frénétique. Ma méthode de travail change. terminées les looooooooongues heures de tortures des neurones pour trouver l'Idée, en espérant que par l'opération de la grace divine le A3 se remplisse tout seul. je commence enfin à refléchir en croquis, en structure, en grasphisme-typo-compo-couleur comme dit A. Autre chose, le sommeil: impossible de dormir sans bosser. Trop de métro boulot dodo, le dodo est frustré si il n'est pas précédé de l'étape intermédiaire. Comme c'est étrange cette sensation, rentrer chez soi, et ne rien faire. Le temps passe vite et on s'emmerde. Sometimes I think that I'm crazy, because I'm lock up in a routine, an amazing routine, and I can't help myself to think that I have chosen this way of life: being tired every time, losing my friends, losing my smile, and everything that is important for me. I don't even have time to think.
May be I am speaking english in order to convict myself that I am good in english.
....mais je le suis pas.
j'alterne les poussées d'adrénaline studieuses et productives et les moments de doutes et de chutes. j'alterne l'égocentrisme et le mépris de mon travail. jamais je ne m'évade. pas complement. meme quand il est là, avec moi , il me manque, car moi je suis loin, très loin de lui, très loin d'ici et de mes proches. Je suis loin de la foret qui cerne mon école, je suis loin de demain car les nuits sont très longue. Isolement et auto-critique sevère. Je ne me reconnais pas dans les pensées qui me viennent. Je me trouve de plus en plus obsessionnelle. Je vais sécher les cours demain...pour travailler! Le comble du sérieux!
Je me surprends à etre spead, à produire, à etre passionnée et frénétique. Ma méthode de travail change. terminées les looooooooongues heures de tortures des neurones pour trouver l'Idée, en espérant que par l'opération de la grace divine le A3 se remplisse tout seul. je commence enfin à refléchir en croquis, en structure, en grasphisme-typo-compo-couleur comme dit A. Autre chose, le sommeil: impossible de dormir sans bosser. Trop de métro boulot dodo, le dodo est frustré si il n'est pas précédé de l'étape intermédiaire. Comme c'est étrange cette sensation, rentrer chez soi, et ne rien faire. Le temps passe vite et on s'emmerde. Sometimes I think that I'm crazy, because I'm lock up in a routine, an amazing routine, and I can't help myself to think that I have chosen this way of life: being tired every time, losing my friends, losing my smile, and everything that is important for me. I don't even have time to think.
May be I am speaking english in order to convict myself that I am good in english.
....mais je le suis pas.
Mercredi 21 janvier 2009 à 10:08
Une salle dont la disposition ressemble à celle du lycée. Je suis bien dans mon école actuelle pourtant, il y a beaucoups de monde dans la salle atelier, on est loin des classes de BTS qui comptent maximum 10 personnes. Je suis assise à coté de A. La prof E vient m'agresser. Moi qui l'admire tant il semble qu'elle soit déçue de ma force de travail. Je suis enragée. Le vase déborde, j'emporte la table dans ma colère.Celle çi bascule puis écrase ma voisine. Qu'est ce qu'elle était legère cette table, surement l'adrénaline. Je me casse. Personnes n'a à me faire de reproches, s' ils savaient comme j'en ai rien à foutre! Juste mon mépris... je ne suis plus dans l'école, je regarde mes pieds qui avancent de plus en plus vite. Les escaliers, puis l'herbe, puis....
Je suis loin. Probablement dans un Vaugrenier que j'ai inventé pour les besoins du scénario. Il y a une un sentier en lacet, que je monte...ou descend je ne sais plus. Je trouve un pont en bois, comme dans les films d'aventure, avec une corde en guise de sécurité pour se tenir. Je m'allonge sur le pont, passe ma tete sous la corde, laisse mon bras pendre à la surface de l'eau. C'est sorte de petit rivière extremement calme. Le soleil. Tu arrives. Nous resterons ici, un jour...
Je suis loin. Probablement dans un Vaugrenier que j'ai inventé pour les besoins du scénario. Il y a une un sentier en lacet, que je monte...ou descend je ne sais plus. Je trouve un pont en bois, comme dans les films d'aventure, avec une corde en guise de sécurité pour se tenir. Je m'allonge sur le pont, passe ma tete sous la corde, laisse mon bras pendre à la surface de l'eau. C'est sorte de petit rivière extremement calme. Le soleil. Tu arrives. Nous resterons ici, un jour...
Samedi 17 janvier 2009 à 20:51
La musique commence, les larmes ne coulent plus, elles deviennent inutiles, la musique pleure à leurs place.
Flottement, comment peut on vivre avec une personne depuis sa naissance sans etre capable de lire en elle?
Sortir, pas pour fuire, pas par peur, non. Sortir dans un but constructif. Parler, avoir une espece de révélation qui te tombe dessus.
Once upon a time, il y avait des gens près de chez moi chez qui je pouvais aller. Aller chercher de l'amitié auprès d'elles. A présent tout ça le semble inaccessible, si loin, trop loin, trop de silence me sépare des autres.
Qu'est ce que jpeux faire qu'est ce que jpeux bien faire?
Douce et amer saveur du souvenir...
Je m'exaspère, je me néglige. Négliges tes problèmes et peut etre qu'ils disparaitront, parce qu'au fond, ils n'existent pas, ils n'existent que dans ton esprit pensant, "tu les inventent tes problèmes".
Je m'exaspère justement parce que je pense de cette façon. Et petit à petit, je perd la notion du temps, de l'espace, du dehors et du dedans, du vrai et du faux ...
Mais non non sa va tout va bien attend! C'est bon quoi c'est normal... oé oé un peu de stresse oé, oé fatigue arf pas tant que ça!
Non non ça me fait pas déprimer cette musique... dépent du contexte
Quelqu'un monte, verra t'il que j'ai les yeux rouges et les paupières qui tirent...
Flottement, comment peut on vivre avec une personne depuis sa naissance sans etre capable de lire en elle?
Sortir, pas pour fuire, pas par peur, non. Sortir dans un but constructif. Parler, avoir une espece de révélation qui te tombe dessus.
Once upon a time, il y avait des gens près de chez moi chez qui je pouvais aller. Aller chercher de l'amitié auprès d'elles. A présent tout ça le semble inaccessible, si loin, trop loin, trop de silence me sépare des autres.
Qu'est ce que jpeux faire qu'est ce que jpeux bien faire?
Douce et amer saveur du souvenir...
Je m'exaspère, je me néglige. Négliges tes problèmes et peut etre qu'ils disparaitront, parce qu'au fond, ils n'existent pas, ils n'existent que dans ton esprit pensant, "tu les inventent tes problèmes".
Je m'exaspère justement parce que je pense de cette façon. Et petit à petit, je perd la notion du temps, de l'espace, du dehors et du dedans, du vrai et du faux ...
Mais non non sa va tout va bien attend! C'est bon quoi c'est normal... oé oé un peu de stresse oé, oé fatigue arf pas tant que ça!
Non non ça me fait pas déprimer cette musique... dépent du contexte
Quelqu'un monte, verra t'il que j'ai les yeux rouges et les paupières qui tirent...