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Dimanche 29 mars 2009 à 23:21

J'étais une personne raisonnée avec la tête sur les épaules, qui savait ce qu'elle faisait et pourquoi. J'étais quelqu'un de dévoué et d'attentionnée. J'étais posé, j'avais un bon sense de l'humour et une certaine facilité à m'exprimer. J'étais enthousiaste, et d'une maniere générale je faisais les choses bien sans trop de difficultés.
Dévasté. Par la trahison, par la fatigue, par la peur, par l'égoisme, par l'accumulation, par le stresse, par la remise en question.
Aujourd'hui je fais tout de travers, je ne trouve plus le temps de rien, je suis fausse et désagréable, je suis paumée, je tourne en rond.

Samedi 28 mars 2009 à 12:08


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Patchworks de tissu, papiers collés
gouachés colorés travaillé, textures et coulures,
 contraste et volume, couleurs et noir
profond, peinture, aplat,
brillance, esttique, harmonie,
dyna
misme, mélange, rapidité
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Un jour...

Vendredi 27 mars 2009 à 23:58

La Mandarine de la frustration

C'est le fruit qu'on mange faute de pouvoir croquer dans la Pomme tentatrice, inaccessible, perchée sur la cime de l'arbre de la connaissance (le pommier quoi!).
La Mandarine est posée délicatement sur le sol, elle est propre, lisse, d'un orange uniforme. Elle est semblable à toutes ses soeurs mandarines. Lisses à l'exterieur, divisées à l'interieur. Comme des fuseaux horaires.
La mandarine est un leurre. Tu mords dedans à pleinne dents, et tu te rends compte que c'est que du vent... enfin du jus quoi, de l'eau, très peu de matière, si on met de côté l'épaisse peau qui dissimule le tout.
La mandarine est sans risque, seulement 25 calories. Pas d'exès, pas de répercution physique, pas de culpabilité à avoir... Si ce n'est celle de ne pas avoir su décrocher la Pomme, raison pour laquelle tu manges, encore, la Mandarine.

Mercredi 11 mars 2009 à 22:22

C'est agaçant enfin de compte, un blog à l'abandon? Plus d'image, plus de renouveau dans les modules, plus de fond qui change de couleur selon mon humeur...
Pourtant c'est pas les idées qui manque, ni les choses à dire. Je pense que les deux principaux maux du bloggeurs sont: n'avoir rien à raconter, et avoir trop de trucs à raconter! Je suis passé d'un extreme à un autre en l'espace d'une semaine et ça fait du bien j'avoue. C'est bon de pleurer, mais pas juste quelques larmes silencieuses, des vraies larmes bien chaudes, qui laissent les yeux tous gonfler, celles qui soulagent! C'est bon d'avoir des fous rires, avec ces proches, et avec des moins proches, de parler, sans cesse, et toujours avoir un truc à raconter, un truc à entendre. Elle me manque.

Se laisser aller...


à la colère. Je deviens convaincu du pouvoir positif qu'a la colère. Pas la haine hein, la colère saine, qui nous fait nous battre.

J'ai des idées de métaphores avec des trombones et des feuilles de papier A4 qui se mélangent dans la tête. J'ai envi d'aller me coucher, car demain très, très très grosse journée, et surtout une longue soirée qui va suivre!!! Restons raisonnable pour ne pas se planter non plus.

Article très désorganisé.

J'ai envi de parler de cette soirée... Me souvenir encore et encore de toute cette émotion, ce débordement de tout, etre mis à nu, etre entouré, la surprise générale, j'ai envi de parler de cette soirée... ça me fait du bien.

Depuis quelques temps on me dit souvent que je suis pas dans mon assiete, je semble pas bien, c'est surement pas faux, mais pour une fois, je sais pas vraiment qu'est ce qui va pas!

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