Samedi 22 novembre 2008 à 14:30
Je passe mes journées à mettre en page des images et du textes les uns avec les autres, à harmoniser des couleurs, à conceptualiser. Alors pardonnez moi si il n'y a plus d'images dans mes articles, et si les couleurs et les typographies sont là justes parce que j'aime bien, j'ai pas envi d'avoir l'impression de travailler quand j'écris mon blog. Quand j'ai un livre entre les mains, je regardes la façon dont c'est relier. Quand je manges un truc, j'analyse le packaging, bientot je passerais le temps en salle d'attente en cherchant les grilles dans Cosmo ou Elle. C'est le métier qui rentre.
Vendredi gros pétage de plomb, ça fait du bien. Je penses que je frole le point de non retour du raz le bol. J'ai si bien stressée que désormais je reste d'un calme olympien (dans un moment de crise vers 00h *: "Mais comment tu fais à rester clame?!?!?O_o). Genre j'ai jamais eu autant de boulot de ma vie et malgrè ça la zenitude s'impose. Genre il est 14h16 * et j'ai pas envi de vous citez tous le boulot que j'ai à faire car j'ai pas à vous prouver que j'ai beaucoups de boulot vous avez qu'à me croire c'est tous, les "non mais t'as pas tant de boulot que ça" me font bien rire.
J'ai envi de dire tout simplement aux gens qui m'agacent fortement qu'ils m'agacent fortement avec leur pensée unique (tant elle est conne) et leurs vision en surface des choses. J'ai plus envi de me remettre en question pour des élitistes-limités adeptent de la "Je-me-prend-trop-trop-au-sérieu" attitude. Aucune dérision, aucun sense du second °, aucune sociabilité, aucun relativisme, juste du "Je-sais-tous-si-mieux-que-les-autres" et ça se dit ouvert d'esprit.
* Tiens, ce sont des chiffres elzéviriens!
...le métier qui rentre...
Dimanche 16 novembre 2008 à 16:25
plus loin, encore loin, euh... non pas si loin! J'ai été vacciné, j'ai mal à l'épaule
et ça fait une boule, jsuis fatigué, fait gaffe à l'hypotension, réactivité,
dynamisme, controles, 1 2 3, 3ème! J'ai des frissons et le chauffage est à 30°.
Dimanche 9 novembre 2008 à 12:57
J'ai rêvé que je me colorais les cheveux en rouge foncé (j'aimais bien en fait), puis en noir, avec des meches vertes et violets et une belle frange. Et comme c'était un rêve, ça partait au lavage et je pouvais facilement retrouver ma couleur blonde que j'aime tant et qui me coute bonbon. Ensuite nous avons été exterminé par des abeilles en mal de ruche et un Bébé Lili géant qui venait d'une planete inconnue. Mais comme c'était un rêve j'ai pu survivre et à la fin de l'histoire je fais un jeu de société avec le monstre en couche culotte.Et je ne gagne pas. (et là vous vous dites.... "Euh ... oui... pourquoi pas!")
Non, je n'ai pas mangé de champi ni fumé ni rien ^^'
C'est juste la manifestation de mon inconscient!
J'ai 100 choses à dire et comme d'hab je ne dis rien. Habitude prise à force. Et rien ne m'encourage à changer ça car rien ne me démontre que ce que je pense porte à conséquence, enfin non ça dépent des gens, rien ne me démontre que ce que je pense...
J'ai l'impression que je ne fais que tourner en rond. Je prends une direction puis je reviens sur mes pas parce que je suis parti trop loin. Je ne sais pas ou stopper cette marche. Enfin si mais je trouve pas.
Comme c'est rassurant de sentir qu'il ya des gens qui ont besoin de moi.
Et maintenant je vais me lancer sur la piste de l'ombre et de la lumiere en expression plastique
Dimanche 2 novembre 2008 à 13:27
Besoin de neuf, d'évasion, d'amitié, de fou rire, de pleurer, de danser
Mais aussi d'un retour au source, de trier, de jeter, de gagner...
Mon horoscope 2009 me suggere de laisser place à l'imprévu, et en effet je n'avais rien prévu de cette baisse de moral de la toussaint. Si je ne parle pas, c'est parce que dans le fond rien n'a d'importance. Pourquoi en rajouter?
A force de me taire, je ne sais plus parler. Je laisse les choses passer si bien que personne ne les remarque.
Mais je m'efface.
Et petit à petit les visages deviennent des taches, les gens deviennent des fourmis, les paroles ne sont plus qu'un brouhara lointain.
...ne reste que quelques résidus de lumière derrière nous